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Bienvenue sur mon blog de débat et d’échanges sur le candaulisme 24 juin, 2018 Comment vivre une aventure candauliste riche de sensations Classé dans : Adultes — candaule @ 18:22 Vers une pratique du candaulisme affranchie de fusion affective Qu’est-ce qu’une aventure candauliste dénuée de fusion affective ? Pour l’épouse d’un candauliste comme pour un candauliste, c’est vivre une aventure candauliste avec le complice du couple d’une façon animale, sensuelle, puissante. Une façon de se livrer pleinement, d’accepter que tout son être soit pris dans la montée de l’envahissement sexuel. C’est vivre alors une sexualité très énergétique. La tête vide uniquement investie par les sensations. Ce corps à corps avec son amant n’est cependant possible que si l’on n’est pas – ou plus – dans un rapport de dépendance affective à l’autre. Tant que l’on est dans une sexualité de type infantile, on masque par le rapport sexuel d’autres demandes. Ainsi, certaines femmes acceptent d’être pénétrées par un complice du couple juste pour « garder » leur compagnon de vie. Dans ce cas, on ne peut pas faire vraiment l’amour. C’est plutôt comme si l’on se regardait le faire, on n’est pas totalement « pris » par cet montée d’énergie sexuelle ». Comment savoir si l’on est dans une sexualité infantile et quelles en sont les conséquences ? Certains couples candaulistes ont bâti leurs complicité à partir d’une demande très affective - liée à un défaut d’attachement à la mère (on a besoin d’être collé à l’autre, de faire corps avec lui, toute séparation est douloureuse…) -, la pulsion candauliste s’inscrit dans ce manque. L’individu est alors dans l’attente de celui ou celle qui pourra enfin combler tous ses besoins. La recherche du complice s’inscrit plus dans le besoin de posséder un partenaire que dans celui de trouver un complice qui vous excite. Donc on a la tête « prise » par : les fantasmes : « C’est celui (celle) qui va m’aimer toute la vie », les projections : « Il (elle) veut que je lui fasse ça » les supputations : » S’il (si elle) ne parle pas après, c’est que ce n’était pas bien ». Les personnes très fusionnelles sont dans une immense attente de réparation de la part de l’autre, dans une perpétuelle demande de câlins ; du coup, elles en oublient la dimension » animale » du sexe. Ces personnes peuvent former des couples candaulistes qui fonctionnent très bien au début, elles ont des sensations très fortes au niveau sensoriel, mais au niveau purement sexuel, ce n’est pas très intense. La pénétration, par exemple, alimente des sensations ou des fantasmes, mais, rapidement, les câlins et la tendresse la remplacent. La fusion épuise le plaisir génital. Comment s’exprime une sexualité adulte ? L’expression d’une sexualité adulte se fait par une demande sexuelle génitale libérée du besoin de fusion affective. La partenaire d’un candauliste qui s’inscrit dans une sexualité adulte sera donc moins dépendante de son partenaire, elle sera plus curieuse sexuellement. Cette curiosité, alliée à l’indépendance affective vis à vis de son conjoint, alimentée par des pulsions sexuelles fortes, débouche immanquablement sur la recherche d’une sexualité plus authentique. Concrètement, quand on est plus adulte affectivement, on est en quête de partenaires sexuels qui peuvent répondre énergétiquement à nos pulsions. On se sent plus libre d’avoir un corps qui communique intensément au niveau génital ; l’idéal tant recherché par beaucoup de candaulistes pour leurs moitiés. Pouvons-nous tous accéder à cet épanouissement sexuel ? La première règle, c’est de se dire : évoluons ! Dans la vie, il faut se convaincre que les choses ne bougeront pas si l’on ne les fait pas bouger soi-même. Et c’est encore plus vrai dans les pratiques candaulistes. Il faudrait parvenir à se déconditionner : oublier tous les modèles existants – couple, famille, fidélité – pour essayer d’être dans une recherche authentique d’épanouissement personnel. Accepter l’idée que la sexualité est autonome, qu’elle se suffit à elle-même, et qu’elle a seulement besoin d’une grande liberté d’esprit. Il est également essentiel d’apprendre à bien connaître son corps, comment il fonctionne, et aussi avec qui il fonctionne bien… Sentiments et pratique candauliste, qu’est-ce qui se joue ? Au tout début d’une aventure candauliste, il y a la pulsion, l’envie de sexe comme dans une relation sexuelle d’une seule nuit ! Beaucoup craignent cependant de se laisser aller à faire l’amour de façon animale parce que ces personnes associent cette intensité physique à l’absence de sentiments. Ils pensent que c’est une expérience déshumanisante alors que c’est tout le contraire. Quand on est dans une sexualité animale avec un ou des complices et que l’on s’autorise à s’abandonner totalement, à dépasser ses blocages, ses a priori, c’est la preuve que l’on a vraiment choisi et reconnu son partenaire candauliste, même si c’est sur le mode inconscient. Les hommes et les femmes conçoivent-ils l’intensité sexuelle de la même façon ? Il est très difficile d’établir de frontière nette entre les deux sexes, tout dépend de l’histoire personnelle de chacun.Jean-Michel Fitremann aurait plutôt tendance à regrouper des individus au sein de trois familles. Schématiquement, il y a : Les « tout fusionnels » : ce sont des hommes et des femmes en quête de sécurité affective qui privilégient les aventures candaulistes faites d’attentions, douces et câlines plutôt que sexuelles. Les « fantasmatiques » qui recherchent des sensations précises à travers des scénarios à l’érotisme particulier bâtis à partir de leurs fantasmes personnels. Les épouses de candaulistes y cherchent de quoi calmer le trop-plein d’émotions, les complices une consommation sexuelle sans investissement affectif. Les « génitalisés » qui désirent chez le complice du couple, un corps chaud, vibrant, « répondant » pour se laisser aller complètement. Ils attendent du sexe qu’il les transporte physiquement. Peut-on cultiver cette intensité dans la pratique candauliste ? Non, car la pulsion sexuelle n’est pas prévisible. Ça peut ne marcher qu’une seule fois ! Cependant ceux qui ont les mêmes attentes de sexualité génitale ont toujours l’envie d’aller plus loin. Cette énergie ne se cultive pas par telle ou telle technique ou pratique. Ce qui fait la force d’une relation sexuelle pleinement épanouissante, c’est le désir, l’énergie que l’on y met, la disparition du mental, la perte des conditionnements et l’envie pulsionnelle que l’on accueille complètement. Alors, on a un corps « pulsif », qui veut, donne et demande beaucoup. On se sent libre, on respire, on bouge. C’est très joyeux ! Pas de commentaire -- 18 avril, 2015 Et le Candaulisme dans tout cela ? Classé dans : Non classé — candaule @ 16:00 Nous dépensons beaucoup de temps, nous messieurs, à expliquer nos motivations à vivre ce fantasme et voir nos femmes dans des situations érotiques avec d’autres partenaires. Mais nous ne parlons jamais des motivations de nos épouses à s’offrir ainsi à d’autres sous nos regards. Sachant que la sexualité féminine est bien différente de celle des hommes. Leurs pulsions sont bien plus raffinées et elles ont souvent besoin plus que d’une simple attirance pour faire l’amour surtout si elles sont mariées, heureuses et amoureuses en couple. Le Candaulisme était il n’y a pas si longtemps totalement inconnu sur la toile, une simple recherche Google pouvait témoigner du peu d’informations sur le sujet. Longtemps noyé à tord dans les pratiques plus répandues que sont le triolisme et l’échangisme, le candaulisme depuis 2ans environ prit conscience de sa particularité avec la naissance de quelques sites spécialisés notamment chez les anglo-saxons (encore eux). Cuckold, c’est ainsi que ces derniers le nomme. Cuckold est à la base le nom d’un oiseaux qui au fil de son évolution s’est spécialisé dans la ponte de ses oeufs au seins de nids d’autres espèces. Profitant de l’instinct maternelle universel pour nourrir sa progéniture et gar